C’est un sublime destin que j’esquisse aujourd’hui
Apprêté du parfum de la messe de minuit,
Déroutante demoiselle aux larmes de dentelles
Evoquant l’hirondelle aux printemps de pastel.
Apprivoisant la vie d’un bouquet de onze roses,
Unis dorénavant nos silences virtuoses !
Des douleurs et des peines traversèrent ton histoire,
Eclaboussant parfois tes yeux emplis d’espoir.
N’as-tu jamais pensé que ton passage sur terre
Ondulant telle une vague sur la plus belle « mère »
Est la libération du pouvoir d’une femme,
L’amour de l’existence, le nectar de mon âme.
L’enveloppe s’est refermée mais je te remercie
En ce jour de Noëlle, d’avoir donné la vie.
Pour Noëlle, née le 25 décembre 1929.
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