Nous portons tous un masque cachant nos libertés,
Toutes ces pensées fantasques porteuses d’éternité.
Maquillant nos faiblesses, nos rêves et nos cauchemars,
Nos amours en détresse doivent se parer de fard.
Car derrière ce théâtre aux rideaux quotidiens,
Ne cessent encore de battre les plus beaux des desseins,
Ces rires universels, tous ces rires de gamins,
Faisant fuir le rimmel sur nos peaux de chagrin…
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Edwige (30 ans)