Telle une adolescente à la couleur diaphane,
Tes aiguilles sont filantes, et tes robes profanes,
Éclairant ces instants de créations magiques,
D’une enveloppe sans serment, d’une liberté pudique.
Ton avenir a pour vœux de fragiles boutonnières,
Vingt coutures pour seuls jeux, vingt sourires pour lumière,
Des valets pour seuls dieux, des valets pour seule chair,
Soufflant devant nos yeux tes rêves de marinières. ..
À l’attention de Morgan.
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