Tu n’es pas de ma chair mais du même univers,
Dans le ventre d’une mère la voix d’une écolière,
Déverse tout son amour de phrases rassurantes,
Recevant pour toujours mon âme bienveillante.
Tu n’es pas de ma chair mais apaises mes colères,
Avec tes mots sincères, tu repousses mes frontières,
Je te pris sous mon aile à l’aube de ta naissance,
Voyant dans ces dentelles une porteuse de chance.
Tu n’es pas de ma chair, toi, mon être cher,
Déterminée, légère, porteuse de cette lumière,
Tu épousas mes rires, tu épousas mes pleurs,
Jusqu’à te voir grandir en rendant l’ascenseur.
Tu n’es pas de ma chair mais du même univers,
Des parents volontaires à l’histoire exemplaire,
Ecrivirent nos chemins empreints de tolérance,
Berçant nos quatre mains de leur amour immense.
Tu n’es pas de ma chair mais apaises mes colères,
Tu prends pour seule prière des livres somnifères,
Ton courage à la fac s’inscrit dans les annales,
Pour trouver ton entracte, le Vidal, c’est vital !
Tu n’es pas de ma chair, toi, mon être cher,
Tu es mon atmosphère, la sœur dont je suis fière,
Alors reçois ce jour à travers ce poème,
Les infinis contours d’un éternel Je t’aime.
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